Christine et Jean-Marc, familiers de l’endroit avaient prémédité ce passage « obligé » en apportant un sac pour ramasser de quoi faire une tarte . Heureusement qu’Alain était là pour atteindre les fruits laissés par les promeneurs de petite taille passés avant nous…
Martine n’avait pas oublié le plan détaillé des parcelles pour marquer l’endroit et revenir (après les vacances) à la saison des pommes et des quetsches !
Dautres gâteaux en perspectives pour la section des marcheurs de l’Orteil en Pointes; avis aux amateurs !…
En complément historique (tiré de la brochure éditée par le CG92):
Il faut savoir (pour ne pas « marcher idiot »…), ou se rappeler que cette forêt est enracinée dans l’histoire. En effet, c’est vers 860 que cette immence réserve de chasse est confiée aux moines bénédictins de l’Abbaye de St-Denis. Vers 900, ils recueillent leurs confrères espagnols chassés de Barcelone par les Sarrazins, et aussi, les reliques de St-Cucufa (évêque de Barcelone mort en martyre en 303). En 1339 ces moines reçoivent en donation une grange appelée la « Male Manson » qui deviendra le château de la Malmaison acquis en 1799 par Joséphine de Beauharnais en même temps que l’étang et le bois attenant. Parmi les aménagements entrepris par l’Impératrice, subsistent les maisons forestières aux abords de l’étang qui étaient à l’époque une étable, une laiterie, et le logis des pâtres.