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Triple Fun

Depuis le temps que je rêvais de le refaire ce triathlon sympa ! Et bien c’est chose faite. J’ai, cerise sur le gâteau, réussi à embarquer Olivier dans cette aventure. Nous voilà partis, gentiment accompagnés d’Isabelle, pour les étangs de Cergy en cette belle matinée. Olivier très fier de me présenter sa petite dame présente dans son TomTom, je lui présente la mienne présente dans mon garmin. les deux dames n’étant pas d’accord, nous voilà partis dans la mauvaise direction. Nous arrivons néanmoins à l’heure pour déposer notre matériel : vélo, petite serviette, chaussures, casques … Et alors là, je vois Olivier appuyé à une barrière, les yeux écarquillés, la langue pendante. Et oui le départ d’un triathlon ce n’est pas le départ d’une course en montagne avec tous ces coureurs, poilus, musculeux … Il y a de jolies filles en maillot de bain, bien taillées, huilées pour mieux glisser. « Sympa ton idée LoLo » me dit mon Oliv entre deux profondes inspirations. Après le briefing toujours aussi sympa et décontract, nous voilà sur la plage, prêts à partir dans nos belles combinaisons toutes neuves. 400 m prévus, plutôt 500-600 m au compteur, en fait peu importe. Mais  dur dur si c’est plus long. 160 nageurs s’élancent : difficile de nager avec aisance, cela nous perturbe donc beaucoup tous les deux. Notre style va en prendre un coup. En fait des coups, on en prend pas mal. Oliv en redistribue, mais s’essaie aussi à la caresse fessière sur des nageuses à proximité (ou des nageurs peut-être). Nous sortons ensemble de la première épreuve. Il faut enlever la combinaison, enfiler les chaussures, le casque et c’est parti pour 25 km de VTT. Olivier a celui de Bruno Baccus. Et là c’est du vrai VTT pas du chemin de forêt. En plus c’est de l’organisation Fun Events, que certains orteilleux connaissent. Il nous faut donc, par exemple, passer dans le lac, dnas des travaux. Olivier a fait souffrir sa monture comme jamais, chauffer les freins, craquer les vitesses. Moi je prends mon pied et rattrape pas mal de concurents. Aucune casse pour nos montures.
Viennent ensuite les 5 km à pied que je crains le plus. Vais-je arriver au bout. Et bien oui, à la vitesse d’une limace mais le genou tient bon. Malgré une chute douloureuse en traversant un bras d’eau, j’arrive au bout. Je suis aux anges : 1 h 56 d’effort pour moi, et mon Oliv arrive environ 5 – 10 minutes après en me faisant signe que c’est un truc de fous. Mais finalement je crois bien que tout ceci lui a bien plu. Bon sa conclusion fut néanmoins que son prochain achat serait un vrai VTT. Merci quand même Bruno d’avoir participé indirectement à cette équipée. L’année prochaine tu viens en vrai avec nous !

Des photos sont ici.

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